Nombreuses sont les définitions pour «le coaching», «faire du coaching» ou encore «être coach» 

Nombre d’entre elles font un lien avec la philosophie en tant que « mère de … », mère du coaching en tant qu’elle intègre dans sa pratique une posture, une éthique, un sens et une méthode comme dans la maïeutique socratique, qui consiste à aider l’autre à accoucher lui-même de ses pensées par un travail d’interrogation.

 

Après des études de philosophie, de gestion des ressources humaines, de psychologie et des années de pratique de la consultance, en organisation et en relations humaines, j’ai décidé d'accompagner individuellement les personnes qui ont envie de reprendre le pouvoir sur leur vie.

 

En m’intéressant à l’ensemble de la réalité dans sa diversité, sans idée préconçue, je questionne le réel, en questionnant, je vais à la recherche du sens et non de la vérité.

 

Mes coachings sont des réflexions et des questionnements sur le monde — un système, un environnement, une organisation — et sur l’existence humaine — un individu — dans l’interdisciplinarité et la transversalité des connaissances et des pratiques.

 

En adoptant une démarche intégrative et ouverte à la diversité des savoirs, des cultures et des êtres humains, je vais à votre rencontre et vous permet d'aller à la rencontre de vous-même.

 

Au-delà du contenu, au-delà des protocoles et des divers outils à la disposition du coach, j’utilise : 

  • L’ironie socratique, interrogation naïve qui fait émerger les contradictions, débarrassée de toute dérision, moquerie,
  • La dialectique, cette façon de raisonner en analysant la réalité, les réalités et en mettant en évidence les contradictions pour chercher à les dépasser,
  • La maïeutique qui consiste à croire fermement qu’il existe dans chaque être humain des potentiels inimaginables et inutilisés et à questionner en dérangeant, pour permettre au coaché de se découvrir lui-même, d’accoucher de ses pensées par lui-même,
  • Le doute, comme moyen, qui refuse l’apparente évidence des choses sans se soustraire à l’impératif de l’action, et qui accepte l’absence de connaissances indubitables et exhaustives.

Ces méthodes reposent en premier lieu sur une écoute active, « entendre » ce que dit l’autre au-delà du contenu, entendre ce que l’on se dit soi-même au-delà de la pensée, sur l’attention portée aux interprétations faites des évènements, pour ouvrir à d’autres réalités et à la capacité à envisager de nouveaux paradigmes.

 

Et sur une posture, entre psychologie et philosophie, entre pensée et action, démarche réflexive et intégrale

 

?"Être philosophe, c’est s’intéresser à ce qui intéresse un philosophe : l’ensemble de la réalité dans sa diversité. Être philosophe, c’est avoir une tournure d’esprit philosophique : questionner les situations à partir de soi en se remettant soi-même en question. Être philosophe, c’est avoir certains traits du sage : se détacher progressivement de l’arrogance naturelle de l’ego et de la tentation du pouvoir pour le pouvoir. Être philosophe, c’est aimer la vie." E.Vegleris

Mes accompagnements sont comme mon rapport à la vie et au travail, profondément optimistes.

Je crois que toute situation, tout essai est une matière à rebondir, et que si on ne sait pas, si on oublie ou si on se trompe, et bien cela nous offre une occasion de grandir, sans fausse promesse, de concentrer son énergie sur ce que l’on peut influencer et lâcher prise sur le reste. 

  1. Adoptez la lucidité : on ne peut pas tout contrôler, mais on peut toujours travailler sur notre posture.
  2. Acceptez la responsabilité : notre liberté réside dans nos choix, même lorsque les options sont limitées.
  3. Explorez nos déterminismes : mieux on comprend nos mécanismes internes et externes, plus on augmente notre pouvoir d'agir

Je tente de suivre et de vous accompagner dans une voie de sagesse spinozienne entre action, raison et passion pour vivre harmonie avec le vivant en refusant l'impuissance des déterminismes ou la toute puissance de l'existentialisme.

 

Aussi, tant que nous sommes en vie, nous pouvons agir et restaurer une situation, une relation, comme dans cet art japonais, le Kintsuki, qui en “réparant les pots cassés“ les sublime, rend belles les imperfections. Nous ne pouvons pas décider de tous les évènements qui nous arrivent, cela est, mais nous pouvons mettre l’évènement au travail, tenter de dépasser le désagréable, rendre plus consciente et confortable notre présence à la vie et, entre déterminisme et libre arbitre, développer notre pouvoir d’agir.

 

Cet optimisme, ni naif, ni utopique, me permet de capitaliser sur ces expériences pour en tirer de nouveaux fils, continuer à élaborer et les transformer en vertu − au double sens d’une capacité d’agir et d’une morale ayant le souci d’autrui. De réduire l’écart entre le réel et le prescrit en augmentant ce dernier non dans sa contrainte mais dans sa ressource.

Autant de chemin pour agir, et vous permettre de trouver votre propre chemin. Ensemble, improvisons !

 

? "L’improvisation est une expression rigoureuse et libre à la fois. Pour rester un esprit libre, il faut demeurer vigilant, ne jamais rien prendre pour une vérité immuable, une certitude, un ordre établi. Laisser une place à la pluralité des approches et des regards." I. Maalouf

Coaching de dirigeant

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